Je suis horrifiée d’apprendre longtemps après sa mort que Shulamith Firestone est morte de faim, seule. Elle avait été diagnostiquée avec une maladie mentale, comme Kate Millet, parce qu’elle était féministe. Je les ai lues au début des années 70 et elles ont eu une grande influence sur moi. C’était très difficile d’être féministe à l’époque. Elles ne seront pas oubliées

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